Yolaine Courtois, responsable de secteur Petits fils à Orvault

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 2  : nous sommes deux à travailler pour la gestion de l’agence Petits fils à Orvault. Le directeur d’agence, Benoit de Joussimeau et moi, chargée de recrutement, mais également de clientèle et d’autres tâches diverses et variées.

1 : car je suis revenue chez Petits fils, depuis un an. En région parisienne, je travaillais chez Petits fils sur un poste de responsable de secteur. Quand je suis venue m’installer dans l’Ouest, j’ai recherché du travail. Au début dans d’autres agences d’aide à domicile, pour découvrir autre chose. Mais au fur et à mesure des entretiens, c’est vraiment chez Petits fils que j’ai eu envie de revenir.

3  Pour les 3 pôles relationnels de ce métier :

• la relation avec les auxiliaires de vie, primordiale pour faciliter leur travail ;
• la relation avec les personnes âgées, pour bien prendre en compte leurs besoins ;
• la relation avec les familles avec les questions des uns et des autres, les approches différentes…

L’objet du quotidien de travail

Mon téléphone ! Indispensable pour ces relations permanentes avec les auxiliaire de vie, les personnes âgées ou la famille.

Une belle rencontre

Compliqué de devoir en choisir une seule ! Peut-être mon petit coup de cœur pour une auxiliaire de vie avec qui nous travaillons depuis quelque temps.

Extrêmement dévouée, très professionnelle. L’auxiliaire de vie de Petits fils par excellence : très aux petits soins, qui donne le sourire à toutes les personnes âgées présentées, à la famille également. Elle dégage une sympathie… Tout le monde le lui rend bien. Elle propose le plus pour que les personnes se sentent jolies, soient pimpantes, ce qui les remet dans une dynamique positive… Elle a ce petit supplément d’âme.

Car toutes nos auxiliaires sont parfaites ! Chez Petits fils, en dehors de la question des compétences, la question qui nous guide, c’est de savoir si j’aurais envie que cette personne s’occupe de mes grands-parents.

Ton rêve pour le secteur du service à la personne

Une amélioration des conditions de travail pour les auxiliaires de vie.

Nous essayons de combiner un planning correspondant vraiment à leur disponibilité, avec des interventions de minimum 2 heures, mais il y a les impondérables du secteur de l’aide à domicile : les temps de trajet entre chaque intervention. Par exemple pour 6 heures travaillées, compter une journée de 8 heures. Et les imprévus bousculant les plannings : les personnes hospitalisées en urgence…

C’est difficile, le rythme est dense… Nous travaillons le plus possible sur leurs conditions de travail avec notre marge de manœuvre : aménager un emploi du temps, proposer des missions, qu’elles peuvent refuser…

En corolaire, je rêve aussi d’une amélioration du salaire pour le secteur. C’est un cercle vertueux. Si ces conditions sont améliorées, elles peuvent passer plus de temps avec les personnes…